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caresser les étoiles … accueil le matin … chaîne d’union contact mystère hymne à la joie (hymne européen) a mes soeurs et mes frères … navigation big bang ? 1 août, 2008 posté par hiram3330 dans : non classé , 13 commentaires la voûte étoilée vient de donner naissance, par scissiparité volontaire, à la voie lactée … désormais la voûte étoilée (www.hiram3330.unblog.fr) se consacrera principalement à ses recherches … alors que la voie lactée ( www.chris.unblog.fr ) poursuivra son chemin dans le domaine de l’imaginaire … les deux espaces intemporels restent néanmoins liées .. unis ….. car l’espace et le temps, qui n’existent pas, sont indissociables ……. les deux en un seront toujours heureux de votre visite, de vos commentaires, de vos contributions … si vous le souhaitez ….. chris le premier d’août 6008 -- … 13 juin, 2008 posté par hiram3330 dans : chaine d'union , 10 commentaires le matin en me levant, je contemple les étoiles… la voûte étoilée c’est en levant les yeux au ciel, tout en gardant les pieds sur terre, qu’il nous est permis de voir, d’observer, d’être … -- digression … teryel la femme insoumise – mythologie berbère 12 juillet, 2019 posté par hiram3330 dans : digression , ajouter un commentaire -- protégé : la clé d’ivoire – 4°- 11 juillet, 2019 posté par hiram3330 dans : chaine d'union , contribution , perfection.... , saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires. cet article est protégé par un mot de passe. pour le lire, veuillez saisir votre mot de passe ci-dessous : mot de passe : -- protégé : le symbolisme de l’aigle – 18°- 10 juillet, 2019 posté par hiram3330 dans : chaine d'union , contribution , rouge , saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires. cet article est protégé par un mot de passe. pour le lire, veuillez saisir votre mot de passe ci-dessous : mot de passe : -- protégé : la justice – 1°- 9 juillet, 2019 posté par hiram3330 dans : bleu , chaine d'union , contribution , saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires. cet article est protégé par un mot de passe. pour le lire, veuillez saisir votre mot de passe ci-dessous : mot de passe : -- variation sur un itinéraire : moine zen et franc-maçon 8 juillet, 2019 posté par hiram3330 dans : recherches & reflexions , ajouter un commentaire variation sur un itinéraire : moine zen & franc-maçon d’aussi loin que je me souvienne, s’est posée pour moi la question du sens, de l’étonnement d’être là – vivant ? – et du questionnement sur la souffrance. ……… i. prolégomènes quelque part, il me semble que quelque chose a toujours été là ; qu’au fur et à mesure des stratifications de la somme des expériences enregistrées par l’agrégat de ma conscience, comme une propension de moi, d’identité, aidait à faire apparaître. qu’est-ce qu’une vie d’homme réalisée ? la vie a-t-elle du sens, un sens ? puis-je donner du sens à ma vie ? enfant, les éléments religieux, catholiques, de notre occident chrétien français, furent de bonne foi ingérés, et crus. il est un âge où l’on ne discute pas les affirmations des parents et des enseignants. enfant de chœur, scout, prières du soir, les histoires merveilleuses de la bible à la cecil b. demille, l’assurance d’un monde meilleur, la récompense des bonnes actions, la vilenie des péchés, furent à l’ordre du jour. j’étais un bon élève. et patatras ! vent de révolte. l’adolescence libidineuse, la dépression de ma mère et sa disparition à mes 15 ans, le mutisme de mon père font s’effondrer ce bel édifice théorique qui ne résiste pas à l’épreuve des faits et à l’expérimentation du toucher. il n’est d’adolescent que révolté. mes séjours à l’eglise m’ennuient. je n’y comprends rien. les propos me semblent vides, la gestuelle surannée, le message souvent abscons. les mots sonnent creux et le rituel est vide de sens : « mangez mon corps et buvez mon sang » me semble étrangement cannibale. je ne comprends pas comment le corps de jésus est du pain rompu, réduit à une hostie plâtreuse et comment le vin blanc que se tape le curé avec cérémonie, terminée par une méticuleuse vaisselle trop longue pourraient être le sang de jésus. a vrai dire, je ne le comprends toujours pas (même si je puis esquisser maintenant une tentative d’explication mais qui ne m’a jamais, paradoxalement, été fournie par ses auteurs). la mort de proches m’est difficilement supportable et me rend l’incompréhension encore plus aiguë. est-on condamné à être séparé de ceux qu’on aime et souffrir ? n’y a-t-il pas une issue autre que le mutisme (de mon père), la fuite, le rejet de ce monde cruel auquel je ne peux rien ? la découverte post soixante-huitarde des émois affectifs et du corps de l’autre me taraude l’esprit et m’entraîne vers comme une solution. mais là, nouveau paradoxe, je m’aperçois vite que ce qui est présenté comme du domaine du péché est délicieusement bon, que cela entraîne vers des rivages de douceur et parfois de plénitude. l’âge de la philosophie arrive enfin. de nombreuses réponses fusent, souvent justes, immersion dans le monde des idées, merveilleux voyage qui me laisse une saveur sans nom, pour le silence des bibliothèques, l’odeur des librairies, merveilleux et paisible temps de l’exploration des sagesses des hommes. le temps de gagner sa vie arrive un peu trop vite, rongeur de l’insouciance et de la vie rêvée des idées. a cette époque, l’idée de dieu est loin. le monde de la spiritualité ne sert pas à payer le loyer. c’est le temps de l’immersion dans le travail mercenaire, acharné, gage de réussite et d’obtention condition nécessaire, semble-t-il, du bonheur. ce mercenariat me conduira à gagner ma vie des querelles d’autrui, à chercher des stratégies habiles de jeux d’échecs, à vaincre un adversaire, à damer le pion à l’autre, à asseoir une reconnaissance, donc une puissance, une emprise ; je fais toujours à fond ce que je dois faire. comme ce métier est aussi un ascenseur social, je m’y investis totalement, découvrant le monde parfois ouaté des requins de la finance ou de l’assurance, l’âpreté de l’entreprise, le sort désespérant de la misère morale et intellectuelle se mariant souvent avec celui de la pauvreté tout court. je cours de la prison au palais, de mon bureau à mon appartement, sillonnant la ville sur un vieux solex. en fait, j’explore à l’époque le monde des trois poisons : l’avidité, la haine et l’ignorance. ii. balises j’ai 27 ans lorsqu’un médecin d’origine arménienne croise mon chemin. il est victime d’une dénonciation calomnieuse et a besoin d’aide. je le prends en charge et partage son tourment. je trouve cela normal. fraternité, dira-t-on. sa sympathie tendre et son angoisse m’appellent à lui venir en aide. il sera mon premier parrain en maçonnerie. je ne connais rien de cette institution. il va m’en parler avec secret et connivence, comme d’un lieu mystérieux, d’hommes nobles et puissants qui agissent dans l’ombre. je vis la proposition comme un honneur. je reçois la visite de trois enquêteurs qui doivent sonder qui je suis. les questions sont variées et je vis des échanges profonds avec des hommes passionnants. le premier est dans l’obtention : « il faut entrer en maçonnerie ». il est volontaire et constructeur. je suis séduit par son goût de l’effort, de vouloir bâtir, de l’intention dirigée vers un but, un idéal. il me dit : « l’utopie d’aujourd’hui doit être la réalité de demain ». le second me parle de kant et de saint exupéry. c’est un esprit distingué, il est officier d’aviation à la retraite, enseignant à l’institut des hautes études de la défense nationale. lui me dira : « si je t’aime mon frère, c’est justement parce que tu es différent de moi ». le troisième m’interrogera précisément sur mes opinions métaphysiques. je répondrai, ce qui était le cas à l’époque, que je ne pouvais être qu’agnostique, mon cerveau n’ayant pas les moyens de dire si dieu existait ou s’il n’existait pas, que ce qui était important était l’homme et que ce qui était de l’homme ne m’était pas indifférent. la cérémonie de l’initia